Un article de Liliane Witkowski
Jusqu’en 1999, j’ai poursuivi une carrière en école maternelle, en milieu urbain.
La nécessité d’une formation en linguistique
J’ai bénéficié au cours de ma formation d’institutrice d’un enseignement en linguistique et le passage à l’alfonic s’est fait naturellement.
Pour les enseignants et les parents d’élèves, l’alfonic ajoute une contrainte par l’apprentissage d’un code supplémentaire. Ces contraintes étaient accrues pour les enseignants par l’investissement personnel : malgré les supports référentiels existants, ils devaient déployer une recherche et une créativité permanentes au quotidien pour l’utilisation de l’outil. L’alfonic devait son efficacité à des enseignants de qualité, adhérents de l’association, qui bénéficiaient d’une formation en phonologie et échangeaient leur expérience et leurs idées.
Un nouvel envol
En 2004-2006, j’ai contribué à l’élaboration des exercices du projet européen « Je parle donc j’écris ». Le projet européen a donné à l’alfonic une autre dimension.
- Cet article est un extrait tiré de : Liliane WITKOWSKI, « Alfonic », dans la revue La Linguistique 2009/2 (vol. 45), p. 75-78. Nous y avons ajouté des intertitres.
Disponible en ligne (revue La Linguistique). Mis en ligne sur Cairn.info le 13/04/2010.
Photo : Steve Buissinne (Pixabay).
TB. Bravo.Georgette
J’aimeJ’aime