Dans la presse

Linguistes, inspecteurs et parents

« Écrire et lire, dans cet ordre : on entend souvent dire que “maints enfants”, à l’entrée en sixième, “ne savent pas lire”. Ceci ne veut pas dire qu’ils ne connaissent pas leurs lettres. Mais, ayant peu écrit pour communiquer quelque chose, ils ne sont pas tentés de trouver un sens derrière une graphie […]. Lire, pour un alfonicien, veut dire comprendre, car il s’est exercé auparavant à écrire pour communiquer quelque chose. »

André Martinet, linguiste et inventeur de l’alfonic

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« Des résultats étonnants : les enfants (cinq ans) ont très vite appris à écrire et à rédiger tout seuls de longues histoires en alfonic. Ils ont pris goût à cet exercice qui, de plus, a paradoxalement développé chez eux une extrême curiosité pour les bizarreries de l’orthographe, dont les aberrations deviennent alors l’occasion d’une sorte de jeu et non plus la source d’une inhibition. »

Henriette Walter, linguiste et postfacière du livre
Alfonic. Écrire sans panique le français sans orthographe

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« On peut s’attendre à ce que la prononciation régulière lettre/phonème établie par une graphie phonologique donne une certaine confiance à l’enfant et l’amène à s’exprimer volontiers par écrit, la graphie phonologique permettant de s’exprimer par écrit dans le registre qui est le sien à un moment donné. On éviterait ainsi, ce que l’on constate souvent, que l’expression des enfants ne s’appauvrisse progressivement au contact de la langue écrite. »

Maryse Renard-Mahmoudian et Robert Vion, linguistes

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« Quel était le but de cette méthode ? Pourquoi apprendre à l’enfant quelque chose qu’il doit oublier ? François ne semblait pas gêné par cette façon de travailler et nous avons joué le jeu jusqu’au bout – tout en nous demandant comment se passerait son année au CP […]. Maintenant, je tiens à vous dire combien je suis satisfaite de cette méthode. François lit couramment depuis le mois de décembre. Cette méthode apporte à l’enfant des résultats rapides et solides en lecture. […], un apprentissage intelligent où l’enfant […] comprend le mécanisme de la lecture (bien différent du « par cœur ») […]. »

M. & Mme Domenjoud, parents d’élèves

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« J’ai souvent été frappée par les remarques des parents de jeunes alfoniciens qui voyaient dans la démarche alfonic une école de précision et de rigueur. […] En contrepoint à ces remarques, je voudrais signaler que cet aspect rigoureux est d’autant plus formateur qu’il est accompagné de l’essor de l’imagination et de la fantaisie […] »

Jeanne Villard, inspectrice

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Photo d’en-tête : Ian Wilson (Pixabay).