Lire, ce n’est pas « deviner à peu près ». Écrire, ce n’est pas assembler n’importe quelles lettres. Pour lire et écrire, on utilise un savoir-faire précis. L’alfonic permet un apprentissage rigoureux du principe de l’écriture et de la lecture. Pour écrire avec l’alfonic, il faut identifier avec soin tous les sons du français. Ensuite, on passe à l’orthographe sereinement, mais de façon systématique et raisonnée.

Un apprentissage logique et décontracté

  • Un enseignement découpé en niveaux de difficulté. Acquérir l’orthographe française est difficile. L’alfonic sépare l’apprentissage de l’écriture de celui de l’orthographe.
  • Une étude décomplexée. L’élève, ne se souciant pas d’orthographe, n’est plus crispé dans la crainte de l’erreur.
  • Une découverte joyeuse. Avec l’alfonic, l’élève s’amuse avec les mots et les lettres. Il peut écrire tout de suite des phrases complexes. « Je parle donc j’écris ! »
  • Pas de signes phonétiques rébarbatifs: les lettres utilisées dans l’alfonic conservent autant que possible leurs valeurs traditionnelles en français. Pas besoin d’être linguiste pour l’enseigner ou l’utiliser : il est ouvert à tous.

Une école de rigueur

  • Un outil de précision. L’élève découvre que la lecture est un savoir systématique et non une devinette. Il perçoit mieux la relation entre les sons et les signes écrits : il comprend le principe de l’écriture phonographique (c’est-à-dire avec des lettres, et non pas avec des idéogrammes).
  • Une ouverture vers la conscience des sons et de l’articulation. Le français d’aujourd’hui dispose de 18 consonnes, 3 semi-consonnes et 14 voyelles (dont les 4 voyelles nasales). L’expérience de l’alfonic sera précieuse lorsque l’élève voudra acquérir une langue étrangère.
  • Un pas vers notre culture. L’orthographe est présentée non comme une difficulté mais comme la strate culturelle, esthétique de notre écriture.

Un tremplin à la diffusion des idées

  • Un déploiement de la créativité. L’alfonic attise la curiosité naturelle des élèves et leur envie de communiquer. Il stimule la créativité des enfants, libres de communiquer avec leurs camarades, leurs parents, leurs professeurs : il révèle la richesse de leur vocabulaire et de leur imagination.
  • Un gain de temps pour passer à l’essentiel. L’alfonic s’acquiert en quelques semaines. Rapidement, les professeurs peuvent encourager les élèves à se concentrer sur le sens des textes.
  • Une ouverture vers le vocabulaire. Pour isoler les difficultés, les livrets traditionnels présentant un phonème à la fois sont très pauvres en vocabulaire et racontent des histoires peu intéressantes pour des enfants de CP/1re. Sans le frein de l’orthographe, le rédacteur peut déployer son vocabulaire et son imagination (rebondissements).

Une méthode qui a fait ses preuves

  • Un outil simple à utiliser. Il n’est pas besoin d’être linguiste pour comprendre comment fonctionne l’alfonic.
  • Une écriture intuitive, qui s’appuie sur les connaissances bien réelles des élèves (les sons qu’ils prononcent tous les jours). L’alfonic permet d’écrire comme on parle.
  • Une méthode égalitaire. Démocratique, l’alfonic est à la portée de tous : enfants, dyslexiques, apprenants étrangers et laissés-pour-compte de l’orthographe.
  • Un succès de terrain. Plusieurs écoles, enseignants, spécialistes de la lutte contre la dyslexie, logopèdes et orthophonistes l’ont expérimenté et cautionné.

Photo d’en-tête : kalhh (Pixabay).